Commençons par visionner cette vidéo :
Regardez et Apprenez.... Rappelez-vous la réalité est pire que nos craintes les plus folles. Soyez prêt !
Pourquoi la réalité de la rue ?
- Parce que la rue est régie par le code de la rue. C'est-à-dire qu'il n'y a pas de règle (sauf celle de la légitime défense du code pénal) et l' objectif est de rentrer chez soi entier.
- On peut être un mauvais compétiteur dans une salle d'entrainement ou dans un dojo et un remarquable combattant de rue, et réciproquement.
- Autrefois, le combat faisait partie intégrante du quotidien. Les mœurs et les sociétés étaient différentes. Malgré ce que prétendent les médias l'insécurité était beaucoup plus présentes, les réactions et les réflexes de survie également. Seul ceux qui ont continué à évoluer dans la rue sont resté expérimentés.
- Sans mental, les ceintures, les coupes, les diplômes et le meilleur matériel du monde sont inutiles.
Les variables
Les variables environnementale et comportementale pouvant influencer l’issue d'un combat sont tels qu'ils sont impossibles de toutes les citer.
Quand il faut combattre dans la rue c'est :
- sur du goudron, du gravier, du carrelage glissant…
- dans un escalier, assis sur une chaise, dans un lieu étroit, en public, à plusieurs…
- face à une personne sous l'emprise de l'alcool, avec une faible luminosité...
- vêtu d'un blouson… Bref, tout est possible.
Il n'y a que le mental, la formation, la pratique et l'expérience qui permette la mise en application des techniques de self-défense le moment voulu.
Simplicité et cohérence
En situation de stress seul les mouvements simples fonctionnent. Tous les schémas de techniques complexes qui viennent remplir un arsenal inutilement, le parasitent.
La confiance en soi
La pratique de la self-défense à d'une manière générale tendance a augmenté la confiance en soi, ce qui peut être bénéfique, mais peut également se transformer en quelque chose de beaucoup plus dangereux lors d'une confrontation réelle. À force de pratique cela peut provoquer une confiance des techniques apprises, mais aussi une fausse confiance face à un agresseur, qui dans ce cas-là est bien réel.
Graduation de la riposte
Même si la réalité des agressions dans la rue est violente rapide et imprévisible, la législation Française oblige impérativement l'introduction d'une graduation dans l'administration du niveau de riposte. En effet, bien que toutes les situations de violence de rue soient potentiellement dangereuses, toutes ne sont mortelles. Tous les agresseurs ne viendront pas avec les mêmes capacités, ni avec les mêmes motivations (vol, agression physique...). C'est à ce moment-là qu'il faut disposer dans son arsenal des stratégies , tactiques et si nécessaire des techniques qui vont permettre de stopper rapidement l'agression mais également posséder ensuite cette présence d'esprit de savoir jusqu'où ne pas aller.
Conclusion
Combattre, fuir ou subir… à vous de choisir.
http://www.aitosinlenoble.fr/
Regardez et Apprenez.... Rappelez-vous la réalité est pire que nos craintes les plus folles. Soyez prêt !
Pourquoi la réalité de la rue ?
- Parce que la rue est régie par le code de la rue. C'est-à-dire qu'il n'y a pas de règle (sauf celle de la légitime défense du code pénal) et l' objectif est de rentrer chez soi entier.
- On peut être un mauvais compétiteur dans une salle d'entrainement ou dans un dojo et un remarquable combattant de rue, et réciproquement.
- Autrefois, le combat faisait partie intégrante du quotidien. Les mœurs et les sociétés étaient différentes. Malgré ce que prétendent les médias l'insécurité était beaucoup plus présentes, les réactions et les réflexes de survie également. Seul ceux qui ont continué à évoluer dans la rue sont resté expérimentés.
- Sans mental, les ceintures, les coupes, les diplômes et le meilleur matériel du monde sont inutiles.
Les variables
Les variables environnementale et comportementale pouvant influencer l’issue d'un combat sont tels qu'ils sont impossibles de toutes les citer.
Quand il faut combattre dans la rue c'est :
- sur du goudron, du gravier, du carrelage glissant…
- dans un escalier, assis sur une chaise, dans un lieu étroit, en public, à plusieurs…
- face à une personne sous l'emprise de l'alcool, avec une faible luminosité...
- vêtu d'un blouson… Bref, tout est possible.
Il n'y a que le mental, la formation, la pratique et l'expérience qui permette la mise en application des techniques de self-défense le moment voulu.
Simplicité et cohérence
En situation de stress seul les mouvements simples fonctionnent. Tous les schémas de techniques complexes qui viennent remplir un arsenal inutilement, le parasitent.
La confiance en soi
La pratique de la self-défense à d'une manière générale tendance a augmenté la confiance en soi, ce qui peut être bénéfique, mais peut également se transformer en quelque chose de beaucoup plus dangereux lors d'une confrontation réelle. À force de pratique cela peut provoquer une confiance des techniques apprises, mais aussi une fausse confiance face à un agresseur, qui dans ce cas-là est bien réel.
Graduation de la riposte
Même si la réalité des agressions dans la rue est violente rapide et imprévisible, la législation Française oblige impérativement l'introduction d'une graduation dans l'administration du niveau de riposte. En effet, bien que toutes les situations de violence de rue soient potentiellement dangereuses, toutes ne sont mortelles. Tous les agresseurs ne viendront pas avec les mêmes capacités, ni avec les mêmes motivations (vol, agression physique...). C'est à ce moment-là qu'il faut disposer dans son arsenal des stratégies , tactiques et si nécessaire des techniques qui vont permettre de stopper rapidement l'agression mais également posséder ensuite cette présence d'esprit de savoir jusqu'où ne pas aller.
Conclusion
Combattre, fuir ou subir… à vous de choisir.
http://www.aitosinlenoble.fr/
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